Essai de la MINI COOPER version originale

Jérôme Vassia essaie pour vous une vraie Mini Cooper d’époque dans son jus. Une sportive avec un vrai pilote au volant cela va déménager.
Une Mini, une vraie Mini Cooper d’époque en version originale, celle dont tout le monde rêve.

L’histoire de la Mini Cooper

Si la célèbre marque anglaise, désormais propriété de l’allemand BMW fait encore parler d’elle avec notamment, la toute dernière John Cooper Works sortie récemment, les puristes eux seront beaucoup plus charmés par une belle Mini d’époque. Et bien vous allez être servis !
Vintage à souhait, mignonne, so british, élégante à la fois, on ne tari pas d’éloge sur cette petite merveille apparue à la fin des années 50.
Qu’on aime ou pas, la Mini, aussi connue à l’époque sous le nom d’Austin interpelle, tant par sa taille que par sa bouille des plus adorables !
Pour la petite histoire, si aujourd’hui la Mini est une voiture haut de gamme avec une envolée des prix assez impressionnante, la version originale de la Mini a été conçue dans le but de proposer une voiture économique suite à la crise du Canal de Suez.
La petite anglaise en a fait du chemin depuis !

Les caractéristiques de l’authentique Mini Cooper

Bon, parlons un peu de cette splendide Mini que vous pouvez découvrir dans le reportage.
Qu’on se le dise, plus authentique on ne peut pas faire, tout l’univers Mini est bien présent : coloris vert bouteille, bandes blanches sur le capot, toit blanc, rétroviseurs assortis, poignées de porte chromées, tout y est !
Il s’agit de la deuxième version de la Mini Originale, équipée d’un moteur 1300 à injection. Montée sur des jantes alus en 12 pouces, ce cru d’exception de 22 ans d’âge dispose d’une boite 4 vitesses.
Comme l’explique Jérome Vassia, pas d’ABS pour la concurrente directe de la Coccinelle ! Attention donc au freinage un peu trop appuyé !
Si à l’image de ses descendantes la Mini offre une super tenue de route, le confort lui est assez limité, notamment dû à la taille de l’habitacle.

Mais elle est tellement mignonne, qu’on lui pardonne tout n’est-ce pas ? 😉